pEn étudiant emLe Diable et le bon Dieu/em de Jean-Paul Sartre (1951), emLes Noyers de l’Altenburg/em d’André Malraux (1943) et emLes Géorgiques/em de Claude Simon (1981), l’auteur entend mettre en lumière la manière dont ces œuvres singulières se saisissent de l’expérience de la guerre et ainsi rencontrent, en littérature, le problème de l’histoire.br/Envisagée comme une puissance de renversement, la guerre détermine ici une série de révélations,… (more)
pEn étudiant emLe Diable et le bon Dieu/em de Jean-Paul Sartre (1951), emLes Noyers de l’Altenburg/em d’André Malraux (1943) et emLes Géorgiques/em de Claude Simon (1981), l’auteur entend mettre en lumière la manière dont ces œuvres singulières se saisissent de l’expérience de la guerre et ainsi rencontrent, en littérature, le problème de l’histoire.br/Envisagée comme une puissance de renversement, la guerre détermine ici une série de révélations, qui concernent aussi bien l’essence de l’homme, sa permanence au sein de civilisations en proie au déclin (emLes Noyers de l’Altenburg/em) que le statut et la possibilité de son engagement dans l’histoire collective (emLe Diable et le bon Dieu/em), ou encore sa disparition pure et simple dans le mouvement même de cette histoire, rendue à la pure immanence de ses productions (emLes Géorgiques/em).br/Les figures de l’échec, de la chute, ou encore de la rematérialisation sauvage de l’homme au contact de l’histoire se trouvent ainsi placées au cœur de l’expérience littéraire du XXspansupe/sup/span siècle./p p /p
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